Service d’aide aux personnes sans papiers
A Point d’Appui, depuis 25 ans, nous sommes un service d’aide à ces personnes sans papiers. Notre action comporte trois volets. Avant tout, il s’agit d’un accompagnement, essentiellement juridique, de personnes et familles confrontées aux lourdes et difficiles procédures de demandes d’autorisation de séjour ou de protection internationale, ainsi qu’à la défense de leurs droits.
Nul besoin de vous dire que dans le champ de notre action, soufflent des vents contraires issus d’une politique migratoire très discutable et d’une opinion publique nourrie de préjugés. Nous agissons donc également auprès de nombreux groupes professionnels, scolaires, culturels, …pour de l’information et de la formation.
Et enfin, avec d’autres organisations, nous tentons d’infléchir la politique migratoire vers plus d’humanité et … de réalisme !
Pour ce faire, nous sommes subsidiés par la Région wallonne en tant qu’Initiative Locale d’Intégration des personnes étrangères.
Fondée à Liège en 1996, agréée par la Région wallonne en tant qu’Initiative Locale d’Intégration des personnes étrangères ou d’origine étrangère(axe accompagnement juridique spécialisé en droit des étrangers), l’ASBL Point d’Appui a pour objet social d’aider des personnes étrangères en séjour précaire ou illégal.
La mission que nous nous donnons est triple :
- Apporter un accompagnement juridique spécialisé aux personnes étrangères et plus particulièrement aux « sans papiers » et aux personnes en séjour précaire, dont les demandeurs de protection internationale. Ces personnes vivent en Belgique dans une grande insécurité à tous les niveaux (juridique, social, médical, scolaire, logement, alimentaire). En outre, notre association assure une permanence juridique hebdomadaire au centre fermé de Vottem, et ce depuis 2001.
- Influencer favorablement les pouvoirs publics compétents en matière de droit séjour des étrangers, de leur droit au travail et à l’aide sociale.
- Sensibiliser et informer le grand public sur la situation des personnes en séjour précaire et des personnes « sans papiers », par le biais d’interventions orales, d’articles de presse, d’ateliers, …